La
civilisation occidentale a toujours négligé le côté subtil de l’être humain.
Cette attitude réductrice a eu comme effet de limiter notre compréhension de
l'homme et des maladies au seul plan physique, au seul niveau du symptôme ou du
lésionnel que l'on cherche à supprimer avec l'arsenal médicamenteux de la
pharmacopée chimique voire des vaccinations. Cela n’est pas nouveau mais le
patient commence à en prendre conscience.
Il est un fait que la
médecine moderne et matérialiste est avant tout orientée vers les
thérapeutiques "au coup par coup", sans vouloir comprendre réellement
la signification de la maladie qui est d'abord un « mal de vivre »,
une coupure de l’être dans sa globalité. Certes, cette médecine a progressé
dans l'analyse et l'exploration de l'organisme humain, mais toutes ces
investigations en profondeur, ne tiennent pas compte du principe subtil
précédant la manifestation, par lequel la matière existe, de ces interactions
vibratoires qui ont amené l'organisme à exprimer un « mal être » ou
un « malaise » au travers d'une pathologie. Il faut bien évidemment
revenir à un diagnostic holistique : corps, âme, Esprit que pratiquent
tous bons guérisseurs Reiki par Byosen (Méthode pour ressentir les
déséquilibres énergétiques). En effet, le corps physique est un révélateur, un
exutoire de troubles ou de dysfonctionnements et permet de découvrir la ou les
causes psychologiques qui ont engendrées les dysfonctionnements. On ne doit
plus considérer l’effet comme un simple désordre moléculaire car il est évident
que les perturbations métaboliques ne sont que la manifestation de déséquilibres
plus profonds, qui correspondent au principe initial de cette manifestation. En fait, ces troubles, aux causes multifactorielles,
doivent être intégrés dans un système transcendant l'aspect moléculaire qui
permet d'expliquer d'une manière rationnelle leur cause, mais aussi les
rapports qu'ils entretiennent avec la Conscience, considérée comme un champ
d'information.
L’être est un champ
vibratoire qui vibre à des fréquences particulières. Chaque type de cellule, de tissu, d'organe, et d'organisme
a son propre champ. Ainsi, l'homme
s'exprime de différentes manières, en fonction d'un acquis génétique, mais
aussi d'une mémoire vibratoire qui est la quintessence d'existences passées et
du vécu de l'univers depuis sa création, c’est ainsi. L’identité profonde de
l’être est le référentiel indispensable, l'image enfouie en nous-même qui donne
la tonalité. Tous les dérèglements sont le produit d’une scission. Première
étape, le malade, celui qui à « mal à dieu » doit donc se reconnecter
à cette conscience, à cette identité Divine qui ne demande qu’à s’exprimer à
travers les corps subtils de son âme jusqu’au corps physique. Ainsi pour
guérir, il faut suivre le principe fondamental suivant : Être réellement
soi-même, prendre conscience de son identité profonde et de sa relation avec la
Création mais surtout créer un lien puissant entre l’énergie matière et
l’Esprit, entre la vibration terrestre et les vibrations subtiles et puissantes
des corps de Lumière.
Sur un plan purement immunologique,
c’est être totalement équilibré et avoir chaque organe en totale connexion avec
le voisin. Le principe de l'identité est un principe de reconnaissance,
c'est-à-dire : reconnaître et se faire reconnaître. L'homme, avec ses organes
multiples, peut être considéré comme un système à part entière, totalement sous
l'influence des énergies qui animent la matière. Chaque organe qui participe à
l'unité de l'individu est en relation avec l'autre dans une harmonie parfaite,
sauf si certains éléments qui le guident viennent interférer sur son équilibre.
Il existe
donc une interdépendance continue entre l'homme et la Création, de même qu'il
existe une interdépendance permanente entre les cellules et le corps de
l'homme. Accéder à la connaissance de l'un, c'est du même coup accéder à la
compréhension de l'autre. La seule approche matérialiste ne peut traduire la
réalité du "champ énergétique" et informationnel qui contient toute
la mémoire, l'hologramme de l'être humain et de l'univers en expansion. De
plus, nos "récepteurs" doivent se mettre en phase avec la nouvelle
fréquence des énergies cosmo-telluriques, sinon ces dernières ne feront
qu'accentuer les effets iatrogènes inhérents à toute action thérapeutique.
Eh oui, nous sommes en
train de faire un saut d'évolution, un saut quantique et pourtant la grande
majorité de l'humanité n'est pas informée des changements qui ont lieu et cette
absence de prise de conscience va entraîner de nombreuses perturbations
supplémentaires chez celui qui reste en plus couper du monde en mutation. Donc,
non seulement il faut ne faire qu’un avec notre totalité mais il faut aussi
s’ouvrir à cette transmutation et accepter de passer à travers des changements majeurs dans notre
champ énergétique ce qui entraîne bien évidemment des modifications dans notre
corps physique, parce que tout cela ne fait qu'un. Ainsi, la Terre et les êtres
humains élèvent leur « vibration ». Il y a une relation de cause à
effet avec l’état d’esprit du patient. Notre santé dépend non seulement de
notre connexion au « Soi Divin » mais aussi à notre réceptivité aux
énergies vibratoires de notre environnement. Nous devons être en harmonie avec
le nouveau chant de la Conscience Créatrice, nous laisser porter par la Vie
pour vivre cette harmonique céleste. Il s’agit tout simplement d’un processus
de résonance ou de dissonance, la liberté de choisir de prendre le train ou de
rester sur le quai.
Il faut en fait accepter
et concevoir l’être comme une unité de création, vivant une symbiose, que rien
ne peut altérer s’il vit en conscience la divine Présence. Nous savons depuis
fort longtemps et d'une manière générale, que l’être humain peut accroître son
niveau vibratoire et ultérieurement son niveau de conscience, s'il réussit les
phases de renouvellement qui ponctuent sa vie. Il en résulte que guérir un
patient atteint de maladie exige obligatoirement une augmentation durable des
niveaux vibratoires des différents composants de ce patient, généralement
provoquée par une déconnexion spirituelle entrainant un stress subtil
déclenchant à son tour une phase symptomatique visible dans le corps physique. Aujourd'hui, il appartient à la médecine non
conventionnelle d'intégrer cette dimension holistique qui prend en compte la
totalité de l'approche du Vivant, dans sa réalité double : biologique et
vibratoire. La médecine traditionnelle quant à elle, reste trop souvent
conditionnée par ce que je nomme une approche « vidalisante » relatif
au dictionnaire Vidal (référence du médicament). Le Reiki par contre, est une
de ces médecines globales qui nous rapprochent plus que jamais de cette
union : corps / âme / esprit, seule garante de notre bien-être, physique,
psychique et spirituel. Ne cherchez pas l’intellectualisme, car seul l’Amour
qui émane de votre cœur et l’Amour que vous recevez de l’Univers peut
faire remonter à votre conscience humaine la Connaissance qui vous permettra de
faire l’unité entre l’humain et le Divin.
Pour permettre la
guérison, il faut que le thérapeute atteigne le lieu de la conscience pure, la
fréquence vibratoire de Lumière de la Source et qu’il la canalise en mettant
son mental en retrait. Cette étincelle divine n'est jamais touchée par la
maladie, car la maladie n'est qu'un phénomène purement somatique. Rappelons qu’elle
n'est pas une agression d'un agent extérieur qu'il convient de combattre, mais
l'expression d'un conflit intérieur, un défaut dans le réseau de vibrations
dont nous sommes constitués. La médecine de conscience a pour but de rétablir
l'émission correcte des vibrations, par un accès direct au cœur de Vivant et de
comprendre l’origine de ce conflit, seul moyen efficace de supprimer cette
causalité.
Article
écrit par Philippe BLOT, charpenté selon
un texte de :
Marc J.
PANTALACCI
Acupuncteur, membre de Conseil Supérieur National de l'Acupuncture Traditionnelle.
Acupuncteur, membre de Conseil Supérieur National de l'Acupuncture Traditionnelle.